En France, la Persècution des chrétiens est une réalité quotidienne !

Antoinette-C. Ducret et enfants
Corinne-N. Jaccard
Le Refuge des Martyres du 12 mai 2009
24590 Nadaillac

Nadaillac le 4 octobre 2010

À vous tous,
Le 12 mai 2009, sous l'ordre de Béatrice Abollivier, préfète de la Dordogne, Bernard Musset le sous-préfet de Sarlat, Raymond Brousse le maire de 24590 Jayac, les gendarmes et les soldats de l'armée française ont ARRACHÉ avec une extrême violence et en toute ILLÈGALITÉ, notre camping car du camping "le paradis" à Jayac, pour le jeter avec nous dans le coin de forêt, ancienne décharge, appelé "le Tisier-Lac Maury" sur la commune de Jayac !
C'est par pure volonté de RÉPRESSION DISCRIMINATOIRE et après nous avoir accusés à tort de tous les délits dont se rend coupable quotidiennement Philippe Veyssière, le propriétaire du camping, une brute alcoolique notoire et fauteur de graves troubles, connu de tous pour son extrême violence et... cousin du maire de Jayac! Les multiples appels au secours et les plaintes à la gendarmerie de Sarlat et Salignac aujourd'hui encore, de la part de plusieurs habitants natifs du lieu qui ont peur de Ph. Veyssière et de ses continuelles menaces et promesses de représailles attestent de la véracité de notre accusation et fait de notre arrachement du 12 mai 2009 un très grave crime contre nos personnes et nos droits et constitue une FORFAITURE de la part des autorités qui nous savent totalement INNOCENTS comme l'ont eux-mêmes reconnu les gendarmes...
Le 9 juillet 2009, nous avons reçu la visite de la cheffe de la Direction Départementale de l'Environnement du Périgord, Monique Mouneydier accompagnée de Xavier Cajot et du maire de Jayac, pour nous remettre un courrier concernant la loi des "implantations irrégulières" !
Après avoir entendu dans quelles conditions nous sommes arrivés dans ce lieu, elle nous a proposé de nous aider à trouver un lieu décent et qui nous conviendrait puisque ce sont les autorités elles-mêmes qui nous ont IMPOSÉ cette situation inhumaine et insalubre en nous jetant dans cette décharge!
Nous avons volontiers accepté cette proposition!
En octobre 2009, sans nouvelle d'eux, nous avons appelé Mr Cajot à la DDE, qui nous a appris que le soir même du 9 juillet, la cheffe de la DDE, était convoquée par le sous-préfet de Sarlat, B. Musset qui lui a formellement INTERDIT de s'occuper de notre cas et de nous venir en aide sous quelques formes que ce soit, lui précisant bien que c'est lui même qui s'occupait personnellement de nous!
Bien que conscient de l'injustice et de l'étrangeté d'un tel ordre, X. Cajot et M. Mouneydier ont choisi de se taire et de se mettre contre la justice en obéissant au sous-préfet, leur supérieur hiérarchique!
En se pliant à la volonté personnelle, du sous-préfet qui fait que notre situation ne relève pas des "implantations irrégulières", comme le précise le courrier de X. Cajot du 7 octobre 2009 en réponse à notre courrier du 1er octobre 2009, ils se mettent eux-mêmes "HORS LA LOI"!
Ces seize mois d'enfer quotidien passés dans ce trou dans des conditions inimaginables, le gel dès le mois d'août, jusqu'à -25 l'hiver, l'humidité persistante, les déchets environnants etc. constituent un TÉMOIGNAGE VIVANT qui révèle combien tous les Martyres de la dernière guerre mondiale des alentours et il y en a beaucoup dans la région, SONT MORTS ASSASSINÉS POUR RIEN, puisque leurs propres familles, aujourd'hui, laissent faire et commettent eux-mêmes les MÊMES ATROCITÉS CRIMINELLES de PURE INJUSTICE qui ont coûté la vie de tant d'enfants du pays, tous fils ou fille d'un père et d'une mère éplorés, jamais consolés, morts Martyrs des allemands et de ceux qui les ont servis, toutes nationalités confondues!
C'est pourquoi nous attendons que les autorités qui se sont rendues coupables de graves crimes contre nous, prennent des dispositions pour nous rétablir dans nos droits et révéler la vérité!
Si nous avons passé ces seize mois dans ce trou impropre à la vie, c'est parce que le maire de Jayac nous y a enfoncé, afin de cacher leur FORFAITURE, en poussant notre camping car avec son gros tracteur bleu, (pour ceux qui osent affirmer que c'est C. qui l'aurait fait), sous le regard goguenard des gendarmes et du sous préfet qui a eu cette parole ÉDIFIANTE et révélatrice en regardant Mme Ducret droit dans les yeux: "ET MAINTENANT DES DEUX, QUI A PEUR ?"!
Si nous avons vécu tant de souffrances dans ce lieu de Calvaire, c'est parce que PERSONNE ne s'est indigné, PERSONNE n'a dénoncé, PERSONNE n'a voulu nous rendre justice, PERSONNE n'a osé témoigner de la Vérité!
Mais bien au contraire, tout le monde s'est INGÈNIÉ, chacun à sa façon, à nous faire porter la responsabilité de cette situation et de la honte de leur lâcheté, face à l'innocent, toujours et encore crucifié sur le bois ensanglanté de leurs propres infamies!
Parfaite lâcheté que celle du couple Delmont de 24590 Laval, les propriétaires du lieu, qui ont refusé en juin 2009, d'écrire LE courrier qui aurait DÉMASQUÉ le sous-préfet dans ses manigances en le confrontant aux mensonges qu'il utilise contre nous!